La France frappe fort en expulsant 12 agents consulaires algériens et en rappelant son Ambassadeur à Alger

La France frappe fort en expulsant 12 agents consulaires algériens et en rappelant son Ambassadeur à Alger

La mascarade diplomatique du régime algérien vient de rencontrer un mur de fermeté tricolore. Ce mardi 15 avril 2025, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a annoncé sur X une riposte cinglante à la provocation d’Alger : 12 agents consulaires algériens seront expulsés de France, et l’ambassadeur de France en Algérie est rappelé pour consultations. Un geste rare, mais lourd de signification, qui sonne comme un camouflet magistral infligé à la junte algérienne.

Le pouvoir algérien, prisonnier de ses propres dérives paranoïaques et d’un nationalisme de pacotille, avait crû bon de déclarer persona non grata douze fonctionnaires français, dans un geste d’une puérilité diplomatique sans précédent. Officiellement, ce geste faisait suite à la mise en détention en France d’un agent consulaire algérien impliqué dans une affaire d’enlèvement et de séquestration sur le territoire français. En réalité, cette décision n’était qu’un nouvel épisode grotesque dans le feuilleton de l’autodestruction diplomatique algérienne.

Mais cette fois, la France n’a pas tendu l’autre joue. Jean-Noël Barrot a répliqué avec une clarté limpide : « Si l’Algérie fait le choix de l’escalade, nous répondrons avec la plus grande fermeté. » Dont acte.

Un régime aux abois, accroché à ses lubies anti-françaises:

Cette escalade absurde révèle une vérité brutale : le régime algérien, isolé, paniqué et économiquement vacillant, tente désespérément de détourner l’attention de son peuple, en agitant le chiffon rouge de l’ingérence étrangère. Une méthode vieille comme le monde, digne des régimes autoritaires à bout de souffle.

Incapable d’assurer la sécurité, la prospérité ou même la dignité de son propre peuple, le pouvoir algérien s’enlise dans une logique de confrontation gratuite, surfant sur un ressentiment post-colonial mal digéré, tout en refusant toute introspection sur ses propres échecs monumentaux.

La France tourne la page de la patience:

L’ère des indulgences diplomatiques semble révolue. La France, excédée par les caprices d’un régime algérien schizophrène, marque un tournant : elle refuse désormais de jouer le rôle du partenaire bienveillant face à un pouvoir qui ne répond que par la défiance, la provocation et la duplicité.

La décision de Paris, soutenue par une large frange de la classe politique française, est perçue comme un signal fort : la junte militaire d’Alger ne peut plus impunément insulter, manipuler et saboter les relations bilatérales sans en assumer les conséquences diplomatiques.

Le peuple algérien, encore une fois, paiera le prix fort de l’irresponsabilité de ses dirigeants, otage d’un régime qui préfère les postures absurdes à la coopération intelligente. Alors que la région a besoin d’apaisement, de dialogue et de développement, le régime algérien persiste dans une fuite en avant autodestructrice.

Mais le vent tourne. Et cette fois, l’Algérie ne pourra plus se cacher derrière sa rhétorique victimaire. L’heure des comptes a sonné.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv