Le régime militaire algérien, fidèle à sa tradition d’arrogance totalitaire, a une fois de plus craché son mépris glaçant pour la justice française. Sa dernière indignation diplomatique face à une décision judiciaire française n’est ni plus ni moins qu’un plaidoyer obscène en faveur de l’impunité, après l’inculpation et l’incarcération méritée d’un de ses agents consulaires, directement impliqué dans l’enlèvement crapuleux de l’opposant Amir Boukhors, dit Amir DZ, en plein territoire français.
En effet, l’Algérie a organiser une opération digne des pires dictatures, menée avec un cynisme froid, planifiée sur le sol d’un pays souverain. Et qu’ose faire Alger ? Non pas condamner l’acte ignoble, mais hurler à la persécution parce que l’un de ses hommes de l’ombre a été rattrapé par la justice. Le régime ne défend pas la vérité. Il protège ses exécuteurs.
Le régime algérien ne se cache plus : il revendique la criminalité d’État
Le masque est tombé. En publiant un communiqué truffé de contrevérités et de menaces à peine voilées, le ministère algérien des Affaires étrangères s’est lancé dans une croisade ridicule contre l’État de droit, dénonçant une prétendue « atteinte aux privilèges consulaires », comme si l’immunité diplomatique servait à dissimuler les agissements de mafieux aux ordres de la junte.
Pire encore, ce régime de fer s’offusque du fait qu’un téléphone, celui du diplomate incriminé, ait été localisé à proximité du domicile de la victime. Comme si cette preuve accablante devait être balayée au nom d’un passe-droit dévoyé ! La junte algérienne revendique une justice à deux vitesses : une pour ses bourreaux, une pour les autres.
Alger ose même qualifier cette procédure de « tournant judiciaire inédit » menaçant les relations bilatérales, comme si les lois françaises devaient s’incliner devant les exigences d’une dictature paranoïaque. En clair, pour la junte, « bon voisinage » signifie impunité totale pour ses opérations clandestines.
Un régime de voyous sans foi ni loi, qui exporte sa terreur
Ce régime en décomposition morale et politique ne recule devant rien. Depuis des années, il exporte la terreur au-delà de ses frontières : harcèlement des exilés, intimidation des journalistes, surveillance illégale, propagande et, aujourd’hui, kidnappings en Europe. Et lorsque la justice étrangère agit, le régime algérien panique, gesticule, et menace comme une bête acculée.
Ce comportement n’est pas une anomalie : il est la norme dans une dictature militaire gangrenée, qui vit par le mensonge, gouverne par la peur, et survit grâce à la violence.
La France ne doit rien céder à un régime de voyous:
Face à cette tentative d’intimidation diplomatique, la France doit tenir bon. Elle ne doit pas plier face aux injonctions d’un régime qui confond immunité et impunité. L’arrestation de ce fonctionnaire algérien n’est pas une attaque contre l’Algérie, c’est une défense élémentaire des principes de justice et de souveraineté.
Quant aux menaces d’Alger de « ne pas en rester là », elles résonnent comme un aveu de culpabilité. Un régime qui hurle si fort contre la justice est bien celui qui a le plus à craindre de la vérité.
Ce nouvel épisode, aussi grave qu’édifiant, jette une lumière crue sur la nature réelle du pouvoir algérien. Ce n’est pas un État respectable. C’est une machine de répression et de subversion, dirigée par une junte paranoïaque, prête à tout pour museler ses détracteurs, même à violer le droit international.
Il est temps que les nations lucides ouvrent les yeux : l’Algérie, sous le joug militaire, n’est pas un partenaire. C’est un fauteur de troubles. Un régime voyou. Un État Terroriste.
La France, et au-delà l’Europe, ne peuvent plus tolérer ce double jeu : on ne peut pas appeler au dialogue d’une main et commanditer des enlèvements de l’autre.
Ce scandale doit être le point de rupture. Le moment où la communauté internationale choisit enfin de cesser de fermer les yeux, de dénoncer sans réserve les agissements criminels d’Alger, et de traiter la junte comme ce qu’elle est réellement : une menace à la paix, à la justice et à la liberté.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv