Le vent de la vérité souffle sur le Sahel !… En représailles à l’agression inqualifiable du régime militaire algérien, qui a abattu un drone Malien en mission sécuritaire à la frontière de Tinzawatène, le Mali s’apprête, selon les experts en géopolitiques, à reconnaître officiellement la Souveraineté du Maroc sur son Sahara et retirer sa reconnaissance de la prétendue « RASD », entité fantoche soutenue par l’Algérie et inféodée au mouvement terroriste du polisario.
Ce tournant diplomatique majeur, marque la fin de la complaisance des pays du Sahel à l’égard des manipulations algériennes et l’effondrement du mythe d’une quelconque légitimité de la pseudo-RASD. C’est aussi le signe d’une rupture radicale avec la duplicité d’Alger, désormais perçu comme un acteur toxique, déstabilisateur et de plus en plus isolé.
En effet, le régime militaire algérien, toujours fidèle à sa doctrine d’intimidation et d’hégémonie régionale, vient une fois de plus de franchir un seuil intolérable. Ce lundi 7 avril 2025, l’Algérie a officiellement fermé son espace aérien aux avions Maliens, quelques heures seulement après avoir abattu un drone en mission sécuritaire à Tinzawatène. Cet acte de guerre, inqualifiable et lourd de conséquences, signe une nouvelle page sombre dans les relations entre Alger et Bamako.
Rappelons que le 6 avril, le Gouvernement de transition Malien a publié un communiqué sans ambiguïté. Un drone non armé, en mission de surveillance contre les groupes terroristes sévissant au nord du Mali, a été abattu par des tirs provenant du territoire algérien. Bamako est catégorique : l’appareil n’a jamais franchi la frontière. Ce tir n’est donc rien d’autre qu’un acte d’agression flagrant, une provocation calculée d’un régime à la dérive.
Ce n’est pas la première fois que le régime d’Alger joue avec le feu. Depuis des années, il protège sur son sol des chefs de factions séparatistes, soutient des mouvements armés déstabilisateurs et sabote les efforts de paix au Sahel. Le double discours algérien, oscillant entre prétendue neutralité diplomatique et activisme sournois, est désormais exposé au grand jour.
Le Mali riposte avec force et courage:
Bamako ne s’est pas contenté de protestations diplomatiques. En réaction, le gouvernement malien a convoqué l’ambassadeur algérien, annoncé son retrait immédiat du Comité d’État-Major Conjoint (CEMOC), et déclaré son intention de porter plainte contre l’Algérie devant les instances internationales. Plus encore : une véritable rupture régionale est en cours.
Les trois États de l’Alliance des États du Sahel (AES) – le Mali, le Niger et le Burkina Faso – ont rappelé collectivement leurs ambassadeurs d’Alger. Cette décision historique acte la fin de l’illusion algérienne de jouer un rôle de médiateur régional. Désormais, Alger est vu pour ce qu’il est : un facteur d’instabilité, un sponsor déguisé de la violence, un fauteur de troubles incapable de proposer autre chose que la confrontation.
Le Maroc incarne désormais l’avenir du Sahel :
Face à la duplicité d’Alger, un autre modèle diplomatique s’impose : celui du Maroc. Royaume stable, fiable et respecté, le Maroc construit des ponts, propose des projets concrets pour le développement du Sahel, et respecte la souveraineté des États. Fort de sa politique de coopération sud-sud, le Royaume attire la confiance croissante des capitales africaines.
Les experts en géopolitique annoncent d’ores et déjà une riposte symbolique forte du Mali : la reconnaissance imminente de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, et le retrait pur et simple de la reconnaissance de la chimérique « rasd », cette entité factice que l’Algérie tente désespérément de faire vivre contre vents et marées.
Un régime algérien à bout de souffle:
En s’enfonçant dans la paranoïa militariste, en étouffant son propre peuple, en torpillant toute initiative de paix au Sahel, le régime algérien se retrouve plus isolé que jamais. L’opinion publique sahélienne, elle, n’est plus dupe. Les temps changent. Les alliances aussi. Et l’Algérie, enfermée dans ses archaïsmes, ne fait plus recette.
Le Sahel se réveille !… Il refuse désormais de se soumettre aux diktats d’un régime autoritaire, sans vision, sans projet, sans légitimité. C’est une page qui se tourne, et le Maroc, par sa sagesse diplomatique et son respect des souverainetés africaines, apparaît comme l’allié naturel des peuples en quête de stabilité et de dignité. L’histoire retiendra que ce 7 avril 2025, l’Algérie a perdu totalement la confiance du Sahel !
Abderrazzak Boussaid/Le7tv