Le régime Algérien est acculé face à la fermeté implacable du Ministre Français de l’Intérieur, Bruno Retailleau. Déterminé à ne pas plier face aux caprices d’un pouvoir autoritaire et irresponsable, Retailleau menace de démissionner si Paris cède sur la question du renvoi des clandestins algériens, dont certains sont impliqués dans des actes criminels graves en France.
Ce camouflet infligé à Alger intervient dans un contexte de tension maximale, exacerbée par le refus obstiné des autorités algériennes d’accueillir leurs propres ressortissants sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français. Un scandale qui a atteint son paroxysme après l’attentat de Mulhouse, commis par un Algérien en situation irrégulière.
Une diplomatie de la lâcheté face à la fermeté française:
Face à ce chaos, l’Algérie persiste dans son chantage diplomatique pathétique, refusant de coopérer tout en continuant à inonder la France de migrants illégaux. Mais Retailleau n’a pas l’intention de céder. Il a clairement signifié que, si le gouvernement français venait à fléchir, il n’hésiterait pas à claquer la porte.
En multipliant les mises en garde, il exige une riposte graduée et sans concession : si Alger continue à se comporter en État voyou, Paris doit frapper là où ça fait mal. La première salve est déjà lancée avec une liste de soixante Algériens en attente d’expulsion. Mais Retailleau va plus loin : il brandit la menace ultime, celle d’une remise en cause des accords de 1968, qui accordent des privilèges migratoires exorbitants aux Algériens en France.
L’Algérie : un régime incapable et oppressif
Tandis que Retailleau défend la sécurité des Français, le régime algérien continue de bafouer les droits les plus élémentaires de son propre peuple. Oppression des Kabyles, répression des journalistes, arrestations arbitraires… l’Algérie se mure dans son archaïsme, incapable d’assumer ses responsabilités sur la scène internationale.
Pendant que Tebboune pleurniche sur un « climat délétère » entre les deux pays, Retailleau, lui, pose des actes concrets. Fini l’ère des compromissions : la France ne se laissera plus intimider par un régime en déliquescence, nostalgique d’un passé révolu et incapable de faire face à la réalité d’un monde qui avance sans lui.
Désormais, la balle est dans le camp d’Emmanuel Macron. Continuera-t-il à temporiser ou aura-t-il le courage de suivre la ligne de fermeté tracée par son Ministre ? Une chose est sûre : l’Algérie ne pourra plus fuir ses responsabilités sans en payer le prix fort.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv