Alors que le Président des Émirats Arabes Unis, Mohammed Ben Zayed (MBZ), s’apprête à se rendre en Mauritanie pour concrétiser la naissance d’un axe stratégique reliant Nouakchott, Rabat et Abou Dhabi, le régime militaire algérien continue de s’enliser dans une politique de déstabilisation régionale et d’isolement idéologique.
L’émergence d’un nouvel ordre géopolitique:
Moins d’un mois après la visite de Mohamed Ould Cheikh Al-Ghazouani aux Émirats Arabes Unis, la Mauritanie s’apprête à accueillir une visite officielle de Cheikh Mohammed Ben Zayed dans la ville historique de Chinguetti. Ce déplacement stratégique s’inscrit dans le cadre d’un projet visant à bâtir un axe tripartite ambitieux. Cet axe, alliant Nouakchott, Rabat et Abou Dhabi, entend remodeler les équilibres d’influence en Afrique du Nord et au Sahel, en misant sur la coopération économique, la stabilité sécuritaire et la solidarité interétatique.
Cependant, cette dynamique constructive entre trois pays souverains et visionnaires contraste vivement avec l’attitude du régime militaire algérien, qui persiste dans son obstructionnisme, sa rhétorique belliqueuse et son incapacité chronique à participer à une vision régionale positive.
Un régime obsédé par la division:
Le régime d’Alger, fidèle à ses pratiques d’un autre âge, tente désespérément de miner toute initiative susceptible de promouvoir l’intégration régionale et le développement économique. Alors que la Mauritanie, le Maroc et les Émirats Arabes Unis avancent vers un partenariat durable, l’Algérie reste obsédée par des ambitions déstabilisatrices, principalement à travers son soutien inconsidéré à des mouvements séparatistes comme le Polisario.
Cette posture est non seulement nuisible pour l’Algérie elle-même, qui gaspille ses ressources pour des causes perdues, mais elle constitue également une menace pour la stabilité régionale. En refusant de s’aligner sur des initiatives de coopération comme celles portées par Nouakchott, Rabat et Abou Dhabi, le régime militaire se coupe de plus en plus des réalités du 21ᵉ siècle.
La renaissance de la Mauritanie et l’alliance Maroco-Émiratie:
La Mauritanie, quant à elle, marque une transition remarquable vers une diplomatie proactive et équilibrée. En s’associant avec le Maroc et les Émirats Arabes Unis, elle s’émancipe de l’influence négative d’Alger et s’engage dans des projets qui renforcent son rôle stratégique en Afrique de l’Ouest.
Ce partenariat tripartite est une démonstration claire de la capacité des pays arabes à surmonter les divisions artificielles imposées par certains régimes archaïques. Il met également en évidence le leadership du Maroc, sous la conduite visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et des Émirats Arabes Unis, sous la présidence éclairée de Mohammed Ben Zayed, qui partagent une ambition commune : celle de bâtir un avenir basé sur la coopération et le développement mutuel.
Un message clair à Alger:
La visite imminente de MBZ à Chinguetti n’est pas qu’un simple événement diplomatique : elle est un signal fort envoyé à ceux qui s’opposent au progrès. Le régime algérien, à force de campagnes de dénigrement, d’isolement volontaire et de politiques autarciques, est en passe de devenir un spectateur impuissant face à une Afrique du Nord qui s’organise et se renforce sans lui.
La communauté internationale doit prendre acte de cette dynamique positive et encourager les acteurs régionaux à poursuivre sur cette voie, tout en exerçant des pressions sur les régimes obstructionnistes comme celui d’Alger, afin qu’ils cessent de nuire à la stabilité et au développement de la région.
L’Histoire retiendra les bâtisseurs d’alliances et les visionnaires qui ont su saisir les opportunités du moment. Quant au régime militaire algérien, il risque de s’enfermer dans une marginalisation historique dont il pourrait ne jamais se relever.
La rédaction/Le7tv