La junte militaire algérienne encaisse un nouveau revers diplomatique d’envergure. Cette fois, c’est la République du Ghana qui vient de rompre ses relations avec le polisario, réduisant en cendres l’une des plus anciennes reconnaissances de la prétendue « RASD », accordée en 1979. Ce coup de massue vient s’ajouter à la longue série d’abandons qui révèlent l’échec retentissant de la stratégie algérienne visant à diviser le Maroc et à entretenir un foyer de tension artificiel au Sahara.
Depuis des décennies, Alger n’a eu de cesse de dilapider ses ressources économiques, politiques et militaires pour maintenir sous perfusion ce mirage séparatiste, dans une vaine tentative de contrecarrer l’intégrité territoriale marocaine. Pourtant, cette obstination aveugle s’effondre sous le poids des réalités géopolitiques et de la montée du soutien international au plan d’autonomie marocain, solution crédible et réaliste portée par le Roi Mohammed VI.
Une Diplomatie Algérienne en Chute Libre :
La décision du Ghana n’est pas un acte isolé. Elle s’inscrit dans une vague de désaveux qui prend de l’ampleur sur la scène internationale. Le Panama, l’Equateur et 46 autres nations ont déjà tourné le dos à cette mascarade. L’Union Africaine elle-même, autrefois infiltrée par les lobbies algériens, assiste impuissante à l’effritement du soutien à la « RASD ». Chaque retrait marque une victoire supplémentaire pour la diplomatie marocaine, dont la constance et la vision proactive ont fini par s’imposer face à l’improvisation et l’agitation d’Alger.
Le soutien inconditionnel à la RASD n’est plus qu’un vestige d’une époque révolue, où l’Algérie croyait encore pouvoir s’ériger en leader du continent. Aujourd’hui, la réalité est tout autre : Alger s’isole tandis que Rabat tisse des alliances stratégiques, multipliant les partenariats économiques, sécuritaires et culturels à travers l’Afrique et au-delà.
La Peur de l’Inévitable :
Ce dernier revers diplomatique laisse la junte militaire algérienne dans une situation de panique. Privée de soutien tangible et confrontée à une série de crises internes – économiques, sociales et politiques – elle persiste néanmoins dans une fuite en avant. Plutôt que de privilégier la stabilité régionale et de chercher des solutions constructives, Alger continue de sacrifier ses intérêts nationaux sur l’autel de son obsession anti-marocaine.
L’argument sécuritaire ne fait que renforcer l’urgence d’abandonner cette politique stérile. La proximité du Ghana avec des foyers terroristes dans le Sahel et au Burkina Faso a joué un rôle clé dans cette rupture. Le Front Polisario, à travers ses connexions douteuses, représente désormais une menace directe pour la sécurité régionale, exposant l’aveuglement d’Alger à des risques qu’elle refuse d’admettre.
L’Heure du Choix :
Il est grand temps pour la junte algérienne de faire face à l’évidence. Le Sahara est marocain, et aucune manœuvre diplomatique ne viendra inverser cette réalité. Chaque jour, de nouvelles nations embrassent cette vérité, saluant les efforts du Maroc pour apporter prospérité et stabilité à la région.
À l’aube de ce tournant historique, l’Algérie doit choisir : s’enliser dans un combat perdu d’avance ou embrasser la coopération régionale et travailler avec le Maroc pour bâtir un Maghreb fort, uni et prospère. Le temps des chimères est révolu, et l’histoire, implacable, avance inexorablement en faveur de la souveraineté marocaine.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv