L’Équateur expulse les séparatistes du polisario et ferme l’ambassade de la prétendue « rasd » dans la Capitale Quito

La République d’Équateur vient d’asséner un coup dur à la junte militaire algérienne et à son projet séparatiste en ordonnant la fermeture de la prétendue « ambassade » du Polisario à Quito et en exigeant que les représentants de cette entité fictive quittent immédiatement le pays. Cet acte souverain et décisif, qui s’inscrit dans une dynamique internationale grandissante de retrait de reconnaissance de la pseudo « rasd », symbolise l’effondrement progressif de la stratégie algérienne, fondée sur la manipulation, le mensonge et la corruption diplomatique.

Un revers historique pour Alger

L’Équateur, qui avait reconnu la pseudo »rasd » en 1983 et permis l’ouverture d’une soi-disant ambassade en 2009, tourne aujourd’hui la page de cette erreur historique. En supprimant le nom de cette entité factice de la liste officielle des représentations diplomatiques accréditées et en retirant le faux drapeau de la façade du bâtiment, Quito envoie un message clair : le soutien à des causes séparatistes sans fondement légal ni légitimité internationale n’a plus sa place dans la diplomatie moderne.

Cette décision, communiquée par la ministre équatorienne des Affaires étrangères, Gabriela Sommerfeld, à son homologue marocain, Nasser Bourita, témoigne de la reconnaissance croissante de la souveraineté marocaine sur le Sahara et de la justesse du plan d’autonomie proposé par le Royaume sous l’égide des Nations unies.

La junte algérienne face à son isolement diplomatique

Ce nouvel échec retentissant de la junte algérienne souligne son incapacité chronique à convaincre les nations du bien-fondé de son soutien au polisario, un mouvement artificiel qu’elle finance et arme depuis des décennies au détriment de son propre peuple

Abderrazzak Boussaid/Le7tv