Les fiascos diplomatiques de la junte algérienne face aux succès éclatants du Maroc reflètent l’effondrement du régime militaire d’Alger

La Diplomatie Marocaine, guidée par une vision Royale clairvoyante, enregistre succès après succès sur la scène internationale, réduisant à néant les efforts maladroits et inefficaces de la junte militaire algérienne pour soutenir son pantin, la pseudo « RASD ». Les récents retraits de reconnaissance de cette entité fantoche par des pays d’Afrique et d’Amérique latine, tels que le Paraguay, l’Équateur et tout récemment, le Panama, témoignent de l’effondrement progressif de la propagande algérienne, désormais sans prise face à la réalité géopolitique.

Le Panama : une symbolique défaite historique

Le cas du Panama est particulièrement révélateur. En tant que premier pays d’Amérique latine à avoir reconnu la pseudo-« RASD » en 1978, son retrait de cette reconnaissance, annoncé le jeudi 21 novembre 2024, est un coup de massue pour les dirigeants d’Alger. Cet acte marque non seulement une rupture avec des décennies de manipulation algérienne, mais aussi une victoire éclatante de la diplomatie marocaine, qui ne cesse de rassembler un consensus international en faveur de son intégrité territoriale.

Ce revirement panaméen fait suite aux retraits de reconnaissance du Paraguay en octobre et de l’Équateur quelques mois plutôt. Ces décisions, émanant de nations autrefois sous l’influence des campagnes de désinformation algériennes, montrent que l’argumentaire marocain fondé sur la légitimité historique et juridique du Sahara marocain s’impose face aux mensonges et aux illusions entretenus par la junte.

La diplomatie algérienne : un navire en perdition

Face à ces revers humiliants, la junte algérienne, enfermée dans une rhétorique obsolète, ressemble à un navire en perdition. Incapable de justifier son soutien coûteux et insensé à une entité séparatiste qui n’a aucune légitimité, elle persiste à gaspiller les ressources du peuple algérien dans une cause perdue.

Malgré des milliards de dollars engloutis pour financer le Polisario, organiser des sommets sans écho et soudoyer des alliés fragiles, l’Algérie ne peut plus masquer l’échec retentissant de sa stratégie. Alors que le Maroc rallie un soutien international croissant, notamment à travers l’adhésion massive au plan d’autonomie proposé sous l’égide des Nations unies, Alger reste figée dans son isolement et son incompétence diplomatique.

Une diplomatie marocaine triomphante

Le Maroc, en revanche, continue de démontrer l’efficacité d’une diplomatie proactive et respectée. Sous la direction de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Royaume a su s’imposer comme un acteur central de la stabilité et du développement en Afrique et au-delà.

L’échec de la junte algérienne contraste d’autant plus avec les succès marocains :

  • Retrait de reconnaissance de la pseudo-« RASD » par plus de 40 pays africains et latino-américains en moins d’une décennie.
  • Soutien ferme des grandes puissances mondiales, notamment des États-Unis, et la France qui reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara.
  • Organisation conjointe de la Coupe du Monde 2030 avec l’Espagne et le Portugal, plaçant le Maroc au centre de la scène internationale.

Un message clair pour la communauté internationale

Le retrait de la reconnaissance de la pseudo-« RASD » par le Panama et d’autres pays n’est pas seulement un acte diplomatique. Il est le reflet d’une prise de conscience globale : le soutien à une entité fictive, fabriquée de toutes pièces par l’Algérie, est une impasse. Ces décisions envoient un message clair : la communauté internationale privilégie une solution réaliste, crédible et durable incarnée par l’initiative marocaine d’autonomie.

Un avenir sombre pour la junte

La junte algérienne, engluée dans son obsession maladive contre le Maroc, s’isole davantage chaque jour. Pendant que le peuple algérien subit des privations économiques et sociales, ses dirigeants dépensent des fortunes pour défendre une chimère.

La défaite diplomatique d’Alger est totale, et ses alliés se raréfient. Le Maroc, fort de ses alliances solides et de sa stratégie cohérente, continue de tracer sa route avec sérénité, consolidant sa position de leader régional et de partenaire fiable sur la scène internationale.

La chute libre de la junte algérienne n’est plus une question de « si », mais de « quand ». Ce fiasco retentissant devrait rappeler à Alger que la vérité finit toujours par triompher face aux mensonges. Le Sahara est Marocain, et le restera.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv