Moscou exclut le polisario et la pseudo « rasd » du Forum de Partenariat entre la Russie et l’Afrique : Une défaite cinglante pour le Régime Algérien

Le Forum de Partenariat Russie-Afrique, qui a débuté ce samedi à Sotchi, sans la présence du Polisario comme l’a demandé l’Algérie, démontre une fois de plus, les failles béantes du régime algérien et son obsession malavisée pour le soutien au Polisario. Alors que Moscou poursuit une stratégie d’approfondissement des liens avec les nations Africaines, le Kremlin a décidé d’ignorer le Polisario (rasd), confirmant que cette entité factice n’a ni légitimité, ni place sur la scène internationale.

Le régime algérien, qui persiste à gaspiller les ressources de son peuple dans une quête d’influence vaine, est aujourd’hui mis face à une réalité embarrassante : malgré des décennies de soutien acharné au Polisario, l’Algérie se retrouve isolée. Le message envoyé par Moscou est clair et résonne comme une gifle : la Russie, pragmatique, a choisi de renforcer ses liens avec des partenaires solides et reconnus, tels que le Maroc, au détriment de la propagande séparatiste algérienne.

La diplomatie Algérienne en échec

En s’obstinant à défendre une cause moribonde, le régime algérien révèle au monde l’échec retentissant de sa diplomatie. Plutôt que de consacrer son énergie et ses ressources à résoudre les crises internes, notamment l’instabilité économique et le mécontentement populaire, la junte militaire préfère s’acharner à promouvoir une république fictive. Cette politique étrangère archaïque, fondée sur des idéologies dépassées, montre aujourd’hui ses limites. Le retrait symbolique du Polisario de cette rencontre de haut niveau illustre l’incohérence de la vision stratégique d’Alger.

Un message humiliant de Moscou destiné à la junte militaire algérienne 

La Russie, en choisissant de dialoguer en priorité avec le Maroc, souligne son intérêt pour des partenariats constructifs et viables. Ce choix est d’autant plus symbolique que, parallèlement, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, devrait rencontrer son homologue russe, Sergueï Lavrov. Une rencontre qui promet d’aborder des sujets de coopération cruciaux, comme la lutte contre le terrorisme et la limitation de la prolifération des armes, loin des chimères du séparatisme.

Le régime algérien, quant à lui, persiste dans un aveuglement absurde, incapable de saisir que l’ère des manipulations idéologiques est révolue. Les pays africains, comme la Russie, s’intéressent désormais à des projets concrets, et non à des rêves de grandeur illusoires. Moscou a préféré s’allier à des pays qui œuvrent pour la stabilité du continent, à l’instar du Maroc, reconnu pour ses efforts continus dans la lutte contre le terrorisme et son engagement dans la sécurité régionale.

L’aveuglement du régime Algérien : Une tragédie pour le peuple algérien 

Pendant que les généraux algériens continuent de dilapider les ressources publiques pour soutenir le Polisario, le peuple algérien souffre de conditions de vie précaires et d’une économie en déclin. Les milliards dépensés pour une cause sans avenir auraient pu être investis dans la création d’emplois, le développement des infrastructures ou l’amélioration des services publics. Au lieu de cela, la population subit les conséquences d’une politique étrangère irrationnelle, marquée par des choix désastreux et une obstination idéologique à outrance.

Cette exclusion du Polisario marque une nouvelle défaite pour le régime algérien, qui refuse de reconnaître la légitimité du Maroc sur le Sahara et persiste dans un jeu d’influence dépassé. Au lieu de se repositionner sur la scène internationale, Alger s’enfonce dans une impasse diplomatique, isolant davantage le pays et précipitant son déclin.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv