L’Association des Femmes Sahraouies pour la Démocratie et les Droits de l’Homme, basée à Las Palmas, en Espagne, a appelé, jeudi à Rome, à mettre fin aux souffrances des femmes et des enfants séquestrés dans les camps de Tindouf en Algérie.
S’exprimant lors d’une rencontre sous le thème « Les voix des femmes pour un avenir de paix et de justice », organisée au siège du parlement italien par l’Association des Femmes marocaines en Italie, Aïcha Rahal, présidente de l’association, a salué le soutien international de plus en plus grandissant au plan d’autonomie présenté par le Maroc pour résoudre le différend artificiel créé autour du Sahara Marocain.
Elle a, dans ce sens, rappelé que les plus grandes nations, dont les États-Unis, ont exprimé leur soutien au plan d’autonomie sous souveraineté marocaine en tant que seule et unique solution pour régler ce conflit régional qui a trop duré.
La militante des droits humains, qui s’est déclarée contre toute manœuvre visant à porter atteinte ou à diviser le Royaume, a déploré la situation que subit la population enfermée par les séparatistes du polisario dans les camps de Tindouf sur le territoire algérien.
Abondant dans le même sens, Mme Souad Sbai, ancienne députée italienne et présidente de l’Association des Femmes marocaines en Italie, a mis en avant l’élan de soutien en faveur du plan d’autonomie sous souveraineté marocaine, se félicitant de l’essor que connaissent les Provinces du Sud du Royaume à tous les niveaux.
Mme Sbai a, par ailleurs, donné un aperçu sur l’évolution de la situation de la femme au Maroc sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, relevant que de nombreuses initiatives et réformes ont contribué à l’émancipation et au développement des femmes marocaines.
Elle a, à cette occasion, passé en revue plusieurs réalisations accomplies dans le domaine de la promotion de la situation de la femme, appelant à œuvrer davantage pour renforcer le rôle de la femme au sein de la société.
Cette rencontre a été marquée par la présence notamment du président du parlement italien, Lorenzo Fontana, du Consul général du Maroc à Rome, Abdelhaq Jniyene, ainsi que de députés et des représentants de départements du gouvernement italien et du monde médiatique, culturel et associatif.
La rédaction/Le7tv