Aujourd’hui, dans un geste aussi absurde qu’inutile, la junte militaire algérienne, fidèle à ses dérives autocratiques et en perte totale de légitimité, a annoncé dans la précipitation, la réinstauration immédiate du régime des visas pour les ressortissants étrangers détenteurs d’un passeport marocain.
Ce coup de théâtre pitoyable, est une ultime tentative désespérée d’un régime à bout de souffle, en pleine déroute, prêt à tout pour détourner l’attention de son propre peuple et de la communauté internationale.
En effet, face à la vague continue de reconnaissance internationale de la Souveraineté du Maroc sur son Sahara, et l’approbation du Plan d’Autonomie proposé par le Royaume, salué à l’unanimité par de nombreux pays comme dernièrement, le Danemark, la junte ne sait plus comment réagir.
Au lieu de s’engager dans une voie constructive et de dialogue, ce régime, gangréné par la corruption et les luttes intestines, opte encore une fois pour la stratégie du bouc émissaire. Et comme à son habitude, c’est le Maroc qui devient la cible de ses délires accusatoires.
Ce gouvernement incapable, qui ne sait que réprimer son propre peuple et refuser toute ouverture démocratique, tente désespérément de faire oublier ses échecs cuisants en créant un ennemi imaginaire : le Maroc. L’imposition de ce visa grotesque ne fait que prouver une chose : l’Algérie est un État en dérive, un régime autocratique qui refuse de reconnaître son propre déclin.
Dans un discours surréaliste et pathétique, le Ministère Algérien des Affaires Étrangères a justifié cette décision en ressassant des accusations éculées, allant de la criminalité transfrontalière au trafic de drogue, en passant par l’infiltration d’espions « sionistes » munis de passeports marocains. Ces allégations farfelues, qui relèvent davantage de la fiction que de la réalité, visent à diaboliser le Maroc pour masquer l’agonie politique et économique du régime algérien.
Ce théâtre grotesque ne trompe plus personne. Le véritable mal qui ronge l’Algérie n’est pas extérieur, mais bien interne : c’est cette junte militaire qui étouffe depuis des décennies toute tentative de réforme et de liberté.
La situation désastreuse du pays ne doit rien au Maroc, mais tout à cette classe dirigeante déconnectée des aspirations de son peuple et des réalités du monde moderne. Ce régime, en panne de légitimité, perd toute crédibilité sur la scène internationale, isolé de plus en plus face à un Maroc qui, sous la conduite visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, poursuit son ascension en tant que pilier de stabilité et de développement dans la région.
En imposant ce visa, la junte algérienne creuse encore davantage son propre isolement, tout en nuisant aux liens humains, historiques et familiaux qui unissent les peuples algérien et marocain. Mais qu’on ne s’y trompe pas : cette tentative de déstabilisation n’ébranlera en rien la relation fraternelle entre les deux peuples. Au contraire, elle révèle au grand jour la faiblesse d’un régime aux abois, incapable de répondre aux véritables attentes de son peuple, qui aspire à la liberté, à la prospérité et à la justice.
Cette décision ne résoudra ni la crise politique interne de l’Algérie, ni sa situation économique catastrophique. En vérité, elle accélère seulement le naufrage d’un régime en bout de course. Pendant ce temps, le Maroc, fort de ses alliances internationales et de la reconnaissance croissante de sa souveraineté sur le Sahara, continue de s’affirmer comme un acteur incontournable sur la scène régionale et internationale.
Il est évident que, malgré les provocations dénuées de sens de la junte algérienne, le Royaume du Maroc, fidèle à sa quête de paix et de prospérité pour toute la région, sortira victorieux face à cette tentative désespérée d’un régime à l’agonie.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv