La Confédération Marocaine des Éditeurs de Journaux et de Médias Électroniques condamne les propos du journaliste Espagnol qui a qualifié les journalistes Marocains de « chiens et fous »

Dans un communiqué, la Confédération Marocaine des Éditeurs de Journaux et de Médias Électroniques déclare avoir suivi les propos offensants publiés par le journaliste dénommé Francisco Carrión, un mercenaire à la solde des services de renseignements algériens, sur son compte Twitter où il a attaqué les journalistes marocains, qu’il a qualifié de « chiens et de fous » dépourvues de raison. Ce  » journaliste » avait récemment réalisé une interview avec le dénommé Souleiman Raissouni sur son site @elindepcom, dans laquelle il a insulté Sa Majesté le Roi et les autorités Marocaines qu’il a qualifiées de corrompues et criminelles.

La Confédération Marocaine des Éditeurs de Journaux et de Médias Électroniques condamne fermement tout ce qui a été exprimé par cet Espagnol à la solde des généraux de l’armée algérienne. Dans son communiqué la Confédération Marocaine des Éditeurs de Journaux et de Médias Électroniques lui rappelle, s’il en a oublié, les crimes sans précédent perpétrés par le régime de Franco contre les Marocains et les Espagnols libres, ainsi que par les tribunaux de l’Inquisition qui restent à jamais une tache noire pour toute l’humanité en raison des atrocités, des meurtres et des génocides commis contre l’humanité.

Par la même occasion, la Confédération Marocaine des Éditeurs de Journaux et de Médias Électroniques dénonçe toute tentative de porter atteinte à l’honneur des journalistes marocains, qui ne vendent ni leur conscience ni leur dignité, et qui ne marchandent pas avec les causes et préoccupations des peuples.

La Confédération Marocaine des Éditeurs de Journaux et de Médias Électroniques dénonce également toute personne cherchant à ternir la réputation du Royaume du Maroc, cette Nation Majestueuse qui figure parmi les plus anciennes dynasties de l’histoire des régimes politiques, est restée unie et cohérente dans le serment d’allégeance entre les générations du peuple marocain et les trônes successifs à travers l’histoire.
La Confédération Marocaine des Éditeurs de Journaux et de Médias Électroniques s’étonne de l’attitude de Souleiman Raissouni, qui a troqué la grâce Royale contre des insultes envers le peuple marocain et la presse nationale :
En effet, il a préféré accorder une interview à un journaliste bien connu en Espagne pour son hostilité envers le Royaume du Maroc, alors qu’il avait refusé de faire la moindre déclaration aux médias marocains après sa sortie de prison. Il s’était contenté de répondre avec sarcasme à quelques journalistes qui lui avaient demandé une déclaration, en les remerciant simplement d’un « merci à vous », une phrase qui n’avait pas été comprise dans sa véritable dimension à l’époque.
La Confédération Marocaine des Éditeurs de Journaux et de Médias Électroniques exprime sa profonde inquiétude face aux attaques délibérées de certains journalistes et médias étrangers contre la presse nationale marocaine, en violation flagrante de toutes les valeurs et principes éthiques de la profession.
Par la même occasion, la Confédération Marocaine des Éditeurs de Journaux et de Médias Électroniques déplore l’attitude de certaines instances professionnelles nationales, notamment le Conseil National de la Presse, qui fait l’autruche en une politique d’ignorance et de négligence en ne répondant pas et en restant indifférents face à certains médias instrumentalisés et certains journalistes payés pour nuire à la réputation du Royaume du Maroc, tant au niveau du régime, de l’État, de la société que de son territoire.
Dans son communiqué, la Confédération Marocaine des Éditeurs de Journaux et de Médias Électroniques demande donc ce qui suit :
  • Agir pour déposer une plainte au nom du Conseil National de la Presse auprès de la Fédération des Associations de journalistes en Espagne (FAPE) ainsi qu’auprès des autres instances professionnelles internationales, contre le dénommé Francisco Carrión, pour ses propos offensants envers la presse nationale.
  • Encourager toutes les instances professionnelles à réagir contre cet insensé journaliste espagnol qui a qualifié les journalistes marocains de fous et de chiens.
  • Appeler les journalistes, les intellectuels et l’ensemble des citoyens à faire preuve de vigilance et de discernement avant d’accorder une interview, un entretien ou de faire une déclaration à tout média étranger, en s’assurant d’abord de sa position vis-à-vis de la souveraineté du Royaume du Maroc.
  • Une mobilisation générale pour faire face aux ennemis de la nation, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, qui exploitent la liberté d’expression au Maroc pour saper les acquis démocratiques et les libertés publiques dont jouit le pays.

La rédaction/Le7tv (communiqué)