Dans une manœuvre digne d’un « soap opéra », l’Algérie a décidé de rappeler son Ambassadeur à Paris en réaction à une lettre du Président Français Emmanuel Macron au Roi Mohammed VI, confirmant une reconnaissance de la souveraineté Marocaine sur son Sahara. Cet acte de théâtre diplomatique a été annoncé avec toute la pompe d’un drame shakespearien, signalant un refroidissement flagrant des relations entre la France et l’Algérie.
Alger, dans un élan de panique et de fureur, a ordonné le « retrait immédiat » de son Ambassadeur, comme pour signifier une désapprobation éclatante et bruyante face au soutien de Macron pour le plan de souveraineté du Maroc. Le ministère algérien des Affaires étrangères, a déclaré que la représentation diplomatique algérienne en France serait désormais reléguée à un simple chargé d’affaires.
L’Algérie, fidèle à ses habitudes de faire grand bruit pour peu, a accusé la France de « bafouer la légalité internationale ». Selon Alger, en reconnaissant le plan marocain comme « seule base de règlement » du conflit, la France s’est rendue coupable d’un soutien flagrant à la « négation du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination ». Comme si le gouvernement algérien, dirigé par une junte militaire obsédée par le contrôle, était réellement préoccupé par les droits humains !!!
Dans un crescendo de condamnations, le communiqué algérien accuse la France d’agir avec « beaucoup de légèreté et une grande désinvolture », comme si Paris avait orchestré une farce plutôt qu’une décision diplomatique réfléchie. Cette réponse hyperbolique de l’Algérie sert surtout à détourner l’attention de ses propres échecs internes et de son obsession maladive pour le Sahara Marocain.
La Vérité Cachée
En réalité, ce rappel d’Ambassadeur n’est qu’une mascarade, un écran de fumée pour masquer l’isolement croissant de l’Algérie sur la scène internationale. La reconnaissance par la France du plan marocain suit celle des États-Unis, et probablement bientôt celle de la Grande-Bretagne. Pendant ce temps, l’Algérie reste coincée dans ses vieilles habitudes, incapable de s’adapter à un monde qui avance sans elle.
Ainsi, l’Algérie continue de jouer son rôle dans cette farce tragique, espérant que son acte de retrait théâtral impressionnera le public international. Mais en fin de compte, cela ne fait que souligner l’absurdité de ses prétentions et l’inefficacité de sa politique étrangère.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv