“Au monde entier, je vous le dis : nous voulons récupérer nos otages et il vaudrait mieux qu’ils soient là avant que je ne prenne mes fonctions, sinon vous le paierez cher”, a-t-il déclaré à propos des otages encore retenus par le Hamas dans la bande de Gaza.
Cinq jours seulement après avoir failli perdre la vie dans un meeting de campagne, Donald Trump est remonté sur scène lors de la convention républicaine de Milwaukee durant laquelle il a accepté l’investiture de son parti pour la course à la présidence des États-Unis en novembre.
Promettant une “victoire incroyable” des républicains à la présidentielle de novembre, après avoir promis promis de terminer la construction du mur antimigrants à la frontière des États-Unis avec le Mexique et réitéré sa volonté de favoriser l’exploitation du pétrole aux États-Unis en “forant à tout va”, Trump s’est dépeint en dirigeant à la stature internationale capable de mettre fin aux conflits dans le monde “avec un coup de téléphone”, rappelant son entente avec le dictateur nord-coréen Kim Jong Un.
Promettant que s’il revenait à la Maison Blanche, la Corée du Nord arrêterait de lancer des missiles, il a dénoncé un monde “au bord de la Troisième Guerre mondiale” et fustigé la faiblesse du président démocrate Joe Biden.
“Au monde entier, je vous le dis : nous voulons récupérer nos otages et il vaudrait mieux qu’ils soient là avant que je ne prenne mes fonctions, sinon vous paierez un très lourd tribut”, a-t-il enfin lancé, à propos des otages encore retenus par le Hamas dans la bande de Gaza.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv