Le programme « Vacances en Paix », soutenu par l’Algérie via le Polisario, continue d’être entaché par des accusations persistantes d’irrégularités, de fraudes et de violations des Droits de l’Homme.
L’ONG Espagnole « La Libertad es Su Derecho » (La Liberté est leur Droit), composée de familles Espagnoles ayant accueilli des femmes séquestrées dans les camps de Tindouf en Algérie, a récemment mis en lumière, lors d’un forum, la dégradation des principes éthiques et juridiques censés protéger les droits des enfants.
Quatre nouveaux cas d’enlèvements de femmes ont été documentés depuis le début de l’année, entraînant l’ouverture d’une enquête judiciaire contre vingt-deux membres du Polisario, y compris des responsables de premier plan, pour traite d’êtres humains et falsification de documents en Espagne.
Ainsi, le programme « Vacances en Paix » est accusé d’être une entreprise illicite exploitant les enfants sous couvert de les nommer « ambassadeurs de la cause ».
Le cas de Mohamed Mohamed Lamine, un enfant de neuf ans arraché à sa famille biologique après un séjour prolongé en Espagne, illustre ces abus.
Le programme « Vacances en Paix » a des effets dévastateurs sur la population des camps de Tindouf, notamment les femmes, qui se retrouvent dans des conditions proches de la captivité, instrumentalisées par le Polisario pour servir des objectifs politiques et économiques. (Affaire à suivre)
La rédaction/Le7tv