Rapport Américain : Le Maroc surclasse l’Algérie dans tous les domaines ; Militaire, Politique, Économique et Culturel !

Selon une analyse réalisée par la plateforme Américaine spécialisée dans les classements et l’analyse des données, « Insidermonkey », le Maroc s’est hissé à la troisième place parmi les 15 pays les plus puissants en Afrique pour l’année en cours.

Cette reconnaissance repose sur une évaluation prenant en compte divers indicateurs de puissance, notamment militaire, politique, économique et culturelle, offrant ainsi une vision globale du statut de chaque nation.

En scrutant de plus près les sous-indices qui ont propulsé le Maroc à cette position, on constate que le Royaume s’est distingué en se classant deuxième en Afrique en termes d’indice de puissance militaire, mettant en lumière ses capacités défensives robustes.

Sur le plan économique, le Maroc a occupé une position honorable en se plaçant au sixième rang, témoignant de sa résilience économique et de son potentiel de croissance. De plus, le Maroc a été reconnu pour son influence politique « Soft Power », se classant troisième dans cette catégorie, ainsi que pour son impact culturel, se situant à la quatrième place dans ce domaine crucial.

Selon le portail spécialisé, la croissance continue de l’économie marocaine est l’un des moteurs de cette ascension remarquable. « Le Maroc a réussi à surpasser son rival, l’Algérie, avec un produit intérieur brut (PIB) approchant les 140 milliards de dollars américains à partir de l’année 2022.

De plus, l’armée marocaine est équipée d’armes occidentales modernes, ce qui lui confère un avantage sur son homologue algérien dépendant de la Russie pour ses acquisitions militaires », précise « Insidermonkey », ajoutant que « Rabat a établi des relations amicales avec de nombreux pays récemment, comme Israël, renforçant ainsi son « Soft Power » sur la scène internationale ».

Les analystes de « Insidermonkey » mettent également en avant l’importance des alliances diplomatiques établies par Rabat, en particulier avec des acteurs clés comme Israël, qui ont contribué à consolider la stature internationale du Maroc et à renforcer son influence sur les questions régionales et mondiales.

« Les fabricants d’armes aux États-Unis surveillent la course aux armements entre le Maroc et l’Algérie. Alors que l’Algérie a renforcé ses capacités en signant un accord avec Moscou en 2020 pour l’achat de Sokhoi Su-30, Rabat, quant à lui, cherche à sécuriser des chasseurs furtifs de cinquième génération produits par Lockheed Martin », compare « Insidermonkey », notant que « le Maroc a signé plusieurs accords avec Washington, lui permettant d’acquérir le système High Mobility Artillery Rocket System (HIMARS), et que le Pentagone a annoncé la vente de nouvelles armes au Royaume dans le cadre d’un contrat de 250 millions de dollars ».

L’Algérie s’est classée quatrième derrière le Maroc, tant en termes d’indice de puissance militaire que d’indice de puissance économique, se plaçant respectivement cinquième et sixième en Afrique en ce qui concerne les indices de puissance politique « Soft Power » et d’influence culturelle. Le site spécialisé a souligné que « la dépense militaire algérienne est la plus élevée sur le continent, le pays ayant concentré ses efforts sur la construction d’une puissante machine militaire en raison de son long conflit avec le Maroc ».

Au niveau continental, l’Égypte a trôné en tête du classement, obtenant la première place dans tous les sous-indices utilisés, suivie de près par l’Afrique du Sud, qui a décroché la deuxième place, soulignant ainsi la diversité des centres de pouvoir en Afrique.

Dans la région maghrébine, outre le Maroc et l’Algérie, le classement a également inclus la Tunisie, qui s’est classée sixième au niveau général et huitième en termes d’indice de puissance militaire, ainsi que quatorzième en termes de puissance économique nationale, ainsi que la Libye, qui s’est classée dixième dans ce classement.

La liste des pays africains les plus puissants de cette année comprenait également d’autres pays tels que le Kenya, classé septième, suivi de l’Éthiopie, huitième au classement général, puis le Soudan, en proie à une crise politique depuis la chute du régime d’Omar El-Bechir, où Khartoum s’est classé onzième, en plus de la République démocratique du Congo et de la Côte d’Ivoire, classées respectivement douzième et treizième.

La rédaction /Le7tv