L’Association Marocaine des Médias et des Éditeurs (ANME) a vivement réagi à l’attaque perfide dirigée contre son Président, Driss Chahtane, dénonçant les rumeurs et les fausses informations propagées par l’auteur de cette offensive.
Dans un communiqué intitulé « Nous sommes tous Driss Chahtane contre les rumeurs et les fake news », l’ANME a exposé les détails du prétendu complot ourdi par Ali Lmrabet, notoirement favorable aux thèses algériennes, du polisario et des ennemis du Maroc.
L’ANME a souligné que Lmrabet, mis à l’écart par la plupart, a démontré une capacité exceptionnelle à élaborer des contrevérités et à propager des rumeurs malveillantes, cherchant à faire croire en la crédibilité de ses prétendues sources d’information. Cependant, l’association a affirmé que cette stratégie inefficace ne convainc guère ceux qui connaissent intimement Lmrabet, dévoilant ses secrets, son parcours et ses affiliations anti-marocaines.
Le communiqué de l’ANME a souligné la perfidie d’Ali Lmrabet, qui a insinué, de manière sournoise, que Driss Chahtane, en tant que directeur de publication de Chouf TV et président de l’Association, était impliqué dans une prétendue « Affaire Escobar du Sahara », suggérant des liens avec l’argent de la drogue pour l’acquisition du siège de Chouf TV. L’ANME a condamné fermement cette offensive impertinente et a mis en lumière l’engagement avéré de Lmrabet dans une collaboration étroite avec les services de renseignements algériens et le polisario, le qualifiant de « traître à la patrie et membre de la cinquième colonne hostile au Maroc ».
Le communiqué a souligné que les informations diffusées par Lmrabet, provenant de sources douteuses, démontrent la décadence du pseudo-journaliste, précisant que Driss Chahtane n’a fait l’objet d’aucune convocation des autorités sécuritaires.
En conclusion, l’ANME a qualifié l’attaque de Lmrabet comme une tentative impudente de dénigrement contre l’association, son président et une incitation au dénigrement d’une instance légalement établie représentant de nombreux sites, journaux et radios, soulignant que de telles actions ne sauraient être tolérées en aucune circonstance
La rédaction /Le7tv