Le Royaume du Maroc a opéré un changement majeur dans sa coopération spatiale en confiant la construction de son prochain satellite d’observation à Israel Aerospace Industries (IAI), écartant ainsi les entreprises Françaises Airbus et Thales, qui avaient construit les anciens satellites Marocains, Mohammed-VI A et B !
Cette décision, officialisée à la fin de l’été dernier avec le choix du modèle israélien Ofek-13 reconnu pour ses capacités avancées, marque un tournant dans les relations diplomatiques et technologiques du Royaume dans le domaine spatial.
Les informations du journal Français « La Tribune » indiquent que bien qu’Airbus et Thales aient participé à l’appel d’offres, ils n’ont pas été retenus, entraînant même un refus d’accueil des autorités marocaines envers la Direction Générale de l’Armement de France.
Ce revirement souligne une évolution significative des relations du Maroc dans le secteur spatial, car les entreprises Françaises, ayant précédemment vendu deux satellites espions Pléiades au Maroc en 2013, sont maintenant exclues en faveur d’une collaboration avec Israel Aerospace Industries (IAI)
Cette décision pourrait également avoir des répercussions sur les partenariats futurs du Maroc dans le domaine spatial, illustrant ainsi les choix géostratégiques du Royaume du Maroc dans un contexte international en mutation.
La rédaction /Le7tv