La junte militaire au pouvoir en Algérie semble avoir perdu sur tous les fronts. En proie à une haine viscérale envers le Maroc, elle tente désespérément de détourner l’attention de ses propres échecs en provoquant des tensions, par procuration, avec son voisin !…
Isolée sur la scène internationale, boudée par le Conseil de Sécurité de l’ONU, critiquée par l’Union Européenne et humiliée par les puissances mondiales, comme ce fut le cas lors du triste épisode des BRICS, l’Algérie se retrouve à broyer, à en crever, sa propre haine !…
Le régime militaire algérien déploie une propagande médiatique intense pour pousser le Maroc vers un conflit ouvert, espérant ainsi masquer ses propres problèmes, notamment les crises internes et la crise économique qui le frappe de plein fouet !…
Sous l’emprise de leur haine viscérale envers le Royaume, les militaires algériens semblent persuadés que leurs tentatives belliqueuses seront couronnées de succès s’ils s’associent à la Russie et à l’Iran. Hélas, non !…Ils semblent ignorer que la stratégie des alliances repose sur des bases bien différentes. Cette fuite en avant traduit l’accumulation d’échecs, tant sur le plan national qu’international, malgré des « investissements » financiers et diplomatiques colossaux pour tenter de redresser la situation en leurs faveur !…
En Algérie, les militaires se sont révélés incapables de mettre fin au Hirak, le mouvement populaire qui réclame un État Civil et le retrait de l’armée des affaires politiques. Pis encore, la classe dirigeante algérienne n’a pas réussi à protéger sa population contre l’épidémie, les incendies de forêt ou les pénuries alimentaires. Actuellement, la distribution de denrées de base, comme les lentilles et les haricots secs sur les marchés, est devenue une cause nationale mobilisant Président de la République, Armée et Gouvernement !…
La communauté internationale est convaincue que l’Algérie soutient le terrorisme en encourageant le Polisario à collaborer avec des groupes terroristes et des organisations criminelles. L’Union Européenne (UE) s’est montrée agacée par le chantage au gaz opéré par le régime militaire, qui a fermé le gazoduc passant par le Maroc et alimentant l’Espagne et le Portugal. Les Européens accusent les dirigeants algériens de suivre les directives russes pour entraver leur approvisionnement en gaz. Les États-Unis sont également mécontents, accusant le régime algérien de devenir un pion de l’Iran et un pourvoyeur du Hezbollah !…
Même le Président Français Emmanuel Macron, particulièrement irrité par les déclarations hostiles envers son pays, a fini par qualifier l’Algérie d' »enfant abandonné de l’Histoire » !…Encore faudrait-il, ont remarqué aussitôt les experts, que l’Algérie ait une Histoire !…
Mais c’est contre le Maroc, que les vieux Généraux de pacotille qui composent la junte militaire Algérienne ont mobilisé toutes les ressources financières et diplomatiques, pour semer la discorde. Ils ont tenté à maintes reprises d’opposer le Maroc à l’Europe, à l’Afrique et au Monde Arabe, mais ont constamment rencontré des échecs, que ce soit dans l’affaire Pegasus, dans le rétablissement des relations avec Israël, dans l’accord de pêche et agricole avec l’Europe et surtout dans la reconnaissance croissance de l’intégrité territoriale du Royaume et le plan d’Autonomie proposé par le Maroc à l’ONU. Les difficultés rencontrées dans le dossier du Sahara Marocain exaspèrent particulièrement les généraux algériens.
En l’espace de quelques mois, la junte militaire algérienne a perdu la bataille de Guergarate, échoué dans ses tentatives vaines de faire revenir l’administration américaine sur sa reconnaissance de la Marocanité du Sahara, ou d’entraver la dynamique d’ouverture de Consulats à Laâyoune et Dakhla. La dernière résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU a consolidé tous les acquis du Maroc et rejeté les demandes de la junte militaire.
Cette résolution a réaffirmé le rôle de l’Algérie dans le conflit, confirmé le format des négociations et souligné que l’autonomie prônée par le Maroc reste la SEULE solution viable. Enfin, le Conseil de Sécurité a rejeté la proposition algérienne d’impliquer l’Union Africaine (UA) dans la recherche d’une solution à ce conflit régional, soulignant que cette question reste de la compétence exclusive de l’ONU.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv