La journaliste Française Agnès Vahramian, envoyée spéciale de France 2 à Marrakech pour couvrir les suites du terrible séisme ayant secoué la région d’Al Haouz au Maroc, a choqué les téléspectateurs en accusant le Roi Mohammed VI d’espionnage, en direct !
En effet, lors de sa couverture en direct du journal de 20 heures de la chaine de télévision FRANCE2, la journaliste Agnès Vahramian a dérapé en affirmant sans équivoque, et sans employer le conditionnel, que les relations entre la France et le Maroc étaient au point-mort à cause de la mise sur écoute du Président Français par le Roi Mohammed VI :
… »Et puis enfin, il y a cette affaire Pegasus. C’est une fâcherie, cette fois-ci, côté français, car le Maroc s’est permis d’écouter des conversations téléphoniques du président Macron via ce logiciel espion. Alors le deuil aurait pu permettre une réconciliation, c’est ce qu’on appelle la diplomatie du séisme, mais le roi Mohammed VI en a décidé autrement« a martelé la journaliste.
Ces allégations de la part d’une journaliste sont non seulement infondées, mais aussi totalement anti-déontologiques. Il est essentiel de rappeler que le journalisme repose sur l’objectivité, la véracité des faits et la responsabilité dans la diffusion de l’information. Accuser publiquement un Chef d’État sans preuves tangibles va à l’encontre de ces principes fondamentaux et relève de la diffamation !…
Les déclarations de la journaliste Agnès Vahramian ont déclenché aussitôt une vague d’indignation virulente sur les réseaux sociaux. De nombreux internautes n’ont pas hésité à qualifier ses propos d’outrageants et à appeler à des mesures drastiques à son encontre.
Aussi, plusieurs voix se sont élevées pour exiger qu’une plainte soit déposée contre la journaliste pour diffamation envers la personne du Roi Mohammed VI. Ces allégations graves et non fondées méritent d’être traitées avec la plus grande sévérité, conformément à la loi.
De plus, de nombreux internautes appellent à son renvoi immédiat du Maroc. Ils estiment que de telles déclarations irresponsables et infondées ne sauraient rester impunies.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv