L’acharnement obsessionnel des dirigeants algériens à suivre les traces du Maroc, se solde invariablement par un échec retentissant. Aux yeux des experts économiques internationaux, cette constatation du manque de succès du « modèle de développement algérien » par rapport à celui des Marocains, n’étonne guère !…
Récemment, le « rêve éveillé » d’une industrie automobile algérienne florissante et dominante dans la région, s’est rapidement mué en un véritable cauchemar économique. Selon les analystes financiers, des sommes colossales, s’élevant à au moins 80 à 100 milliards de dollars, ont ainsi été englouties en raison des politiques économiques désastreuses mises en œuvre à Alger par la junte militaire moribonde !…
Le chapitre de l’industrie automobile « Made in Algeria » est désormais irrémédiablement clos, et l’Algérie semble enfin avoir pris conscience qu’elle ne peut plus se permettre de répéter cette expérience douloureuse pour son économie !…
En plus de l’exemple l’industrie automobile qui a avorté, on a pu assister à l’échec de projets tels que la route transsaharienne qui n’a jamais vu le jour, le « train fantôme » vers Tamanrasset, le grand port méditerranéen d’Oran, la politique des grands barrages, l’industrie agroalimentaire, les stations de dessalement d’eau de mer, le transport aérien et terrestre, le tourisme et plus récemment l’effondrement du Gazoduc avec le Nigéria : Tout semble inexorablement sombrer dans l’échec en Algérie !…
Dans une analogie rappelant « Les Fables de La Fontaine », en particulier l’histoire du corbeau tentant d’imiter la marche de la colombe en vain, les dirigeants algériens, en s’entêtant à copier le Maroc dans le simple but de rivaliser, de dénigrer ou d’affaiblir leur voisin, sans disposer des infrastructures nécessaires, des moyens humains ni des compétences scientifiques requises, se retrouvent inlassablement humiliés devant les yeux du monde !…