LES ÉTATS-UNIS COMPARENT L’EXCELLENCE DU « CLIMAT DES INVESTISSEMENTS » AU MAROC, AVEC CELUI, TRÈS MÉDIOCRE, EN ALGÉRIE !

Le Département d’État Américain a publié ce mercredi, son rapport annuel sur le climat des investissements dans le monde pour l’année 2023, fournissant des informations et une évaluation sur les conditions économiques et d’investissement dans 165 pays du monde.

Le rapport inclut des données sur les pays du Maghreb et mentionne que : Le Maroc cherche à se positionner en tant que Centre d’Affaires Régional en exploitant sa position géographique stratégique, sa stabilité politique et ses infrastructures de premier plan pour se développer en tant que HUB de fabrication et d’exportation régionale pour les entreprises internationales. »

Il ajoute que « le Maroc encourage activement et facilite l’investissement étranger, en particulier dans les secteurs d’exportation tels que la fabrication, grâce à des politiques économiques positives, à la libéralisation du commerce, aux incitations à l’investissement et aux réformes structurelles. »

Le rapport considère que le gouvernement marocain « met en œuvre des stratégies visant à augmenter les opportunités d’emploi, attirer les investissements étrangers, améliorer les performances et la production dans les secteurs clés qui génèrent des revenus, en mettant l’accent sur des industries à valeur ajoutée telles que les énergies renouvelables, l’industrie automobile, l’aérospatiale, le textile, les produits pharmaceutiques et l’industrie agricole. »

Quant à l’Algérie (la puissance régionale autoproclamée !!!), le rapport mentionne que l’économie de l’Algérie est « dominée par les institutions gouvernementales trop archaïques, ce qui représente un défi pour les entreprises américaines », ajoutant que les défis auxquels sont confrontés les investisseurs économiques, sont « des procédures douanières complexes, une bureaucratie épuisante, des difficultés de transfert de fonds et une concurrence de prix de la part des concurrents internationaux. »

Le rapport ajoute que « les entreprises internationales opérant en Algérie se plaignent du caractère fluctuant des lois et réglementations, ce qui accroît les risques commerciaux pour les investisseurs étrangers », soulignant que « d’autres obstacles comprennent une intégration régionale limitée et des restrictions à l’importation, ce qui entrave les opportunités de profiter des chaînes d’approvisionnement internationales »

La rédaction /Le7tv