À quelques jours de la célébration de la Fête du Trône, le peuple marocain est plus que jamais uni dans sa fierté et sa solidarité envers son Roi et sa Nation. Cependant, une récente provocation choquante et irresponsable a suscité l’indignation de tout le Royaume !…
En effet, le Front de Gauche Communiste, également connu sous le nom de Front des Travailleurs, Parti Marxiste-Léniniste, a affiché une bannière provocatrice immonde sur un immeuble à Madrid, dans le cadre de la campagne électorale pour les élections du 23 juillet en Espagne. La bannière portait le slogan outrageant : « Que Mohammed VI vote pour toi », visant clairement à ternir l’image de la monarchie marocaine et de la personne de SM le Roi Mohammed VI !
Cette provocation va bien au-delà de la liberté d’expression et vise délibérément à porter atteinte à l’intégrité de la monarchie marocaine et à semer la discorde entre deux nations historiquement liées. Les liens entre le Maroc et l’Espagne sont basés sur le respect mutuel et la coopération dans divers domaines, et cette provocation constitue une violation flagrante de cette relation bilatérale.
En tant que Marocains, nous avons appris à ignorer les caricatures offensantes qui visent nos institutions constitutionnelles. Cependant, il y a des limites à ne pas franchir, et cette attaque directe contre notre Roi est inacceptable. Notre Roi est le symbole de notre unité nationale, de notre souveraineté et de notre identité en tant que peuple marocain. Le cibler, c’est attaquer tout un pays et ses valeurs.
La défense de notre souveraineté nationale est une responsabilité collective. Les partis politiques marocains doivent mettre de côté leurs divergences et faire front commun contre de telles atteintes. La solidarité nationale et la responsabilité politique sont essentielles pour faire face à ces défis et préserver les intérêts du pays.
Il est donc impératif que les autorités marocaines et les partis politiques marocains, prennent des mesures fermes pour dénoncer cette action irresponsable et défendre la souveraineté nationale.
Abderrazzak Boussaid /Le7tv