Alors que les prix du pétrole continuent de baisser en raison des chiffres décevants de la croissance Chinoise au deuxième trimestre. Cette baisse de prix, enregistrée ce lundi 17 juillet, reflète une reprise post-Covid qui montre des signes d’essoufflement ces derniers mois.
En effet, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre a ainsi perdu 1,73%, s’établissant à 78,49 dollars. Pendant ce temps, son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate pour livraison en août, a également enregistré une baisse de 1,76%, atteignant 74,09 dollars.
En tant que premier importateur mondial de pétrole, une baisse de la demande chinoise de brut inquiète les marchés quant à la reprise de la demande future de pétrole dans la deuxième économie mondiale.
Pour l’Algérie, la baisse persistante des prix du pétrole est une source de préoccupation majeure. En tant que pays qui dépend fortement des revenus pétroliers pour financer son économie, cette situation risque d’avoir des répercussions importantes sur son budget national, sa stabilité économique et sociale, ainsi que sur les projets de développement.
L’Algérie tente en vain, avec sa junte militaire corrompue et moribonde, de diversifier son économie et d’annoncer des investissements complètement hypothétiques, voire imaginaires, dans d’autres secteurs hors hydrocarbures, afin de réduire sa dépendance, TOTALE et Dangereuse, vis-à-vis du pétrole.
La situation déjà désastreuse de l’économie algérienne et la chute libre des prix du pétrole inquiètent les experts internationaux qui n’arrêtent pas de tirer la sonnette d’alarme quant à un éventuel effondrement imminent de tout son système économique archaïque basé uniquement sur sur la rente, pétrolière et gazière à outrance, couplé avec « l’achat de la paix sociale » à une population algérienne complètement désespérée…. Une situation intenable qui pousse l’Algérie vers une implosion inévitable !…