Et ça continue !… Le Président Algérien Tebboune (le mal nommé) a accusé « indirectement » le Maroc d’être responsable de l’enlèvement de diplomates algériens au Mali en 2014. Cette nouvelle accusation s’ajoute à une série d’accusations graves et non étayées que l’Algérie a portées contre le Royaume ces derniers mois.
Le Président Tebboune, qui agit sans garde-fou depuis la mise à l’écart de Ramtane Lamamra, chef de la diplomatie algérienne, a affirmé lors d’une interview accordée à Al Jazeera Podcast que « la première victime de l’instabilité (au Mali) c’est l’Algérie », alors que l’Algérie ouvre ses frontières et protège les chefs de groupes extrémistes terroristes.
Concernant l’enlèvement des diplomates, Tebboune a pointé du doigt la responsabilité d’un « pays voisin » à travers une organisation terroriste fictive qu’il aurait créée au Mali, sans nommer le Maroc directement. Pourtant, le groupe terroriste qui a revendiqué cet enlèvement, le Mujao, avait choisi des cibles en Algérie car il réclamait la libération de détenus maliens en Algérie et une rançon de 15 millions d’euros, et cela n’a rien à voir avec le Maroc.
Le président Tebboune n’a pas non plus expliqué comment les autorités algériennes ont négocié avec le groupe terroriste et quel prix a été payé par l’Algérie pour obtenir la libération de ces otages. Pourtant, Tebboune avait déclaré précédemment être opposé au paiement des rançons, et avait critiqué la France pour l’avoir fait.
Ces accusations sans preuves portées par l’Algérie contre le Maroc sont symptomatiques de sa « folie furieuse anti-Maroc », qui ne cesse de s’aggraver. Le Royaume, qui ignore ces provocations, demeure le leader de la lutte antiterroriste en Afrique et dans la région, contrairement à ce que l’Algérie laisse entendre.
La rédaction /Le7tv