Le Comité de pilotage de la mise en œuvre du chantier de la protection sociale s’est réuni, jeudi à Rabat, sous la présidence du chef du gouvernement, Aziz Akhannouch.
Cette réunion s’est tenue en présence du ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, du Secrétaire général du gouvernement, Mohamed Hajoui, du ministre de la Santé et de la Protection sociale, Khalid Ait Taleb, du ministre délégué auprès du ministre de l’Economie et des Finances, chargé du Budget, Fouzi Lakjaa et du Directeur général de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale, Hassan Boubrik, indique un communiqué du Département du chef du gouvernement.
La réunion a permis de faire le point sur les dernières dispositions relatives à la généralisation de la couverture médicale, prévue au 1er décembre 2022, ainsi que sur les procédures relatives à l’intégration des autres catégories bénéficiaires de ce chantier, et ce en total respect du calendrier préalablement fixé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, relève le communiqué.
La réunion a également été l’occasion d’examiner l’état d’avancement du programme de digitalisation du secteur de la santé, afin qu’il puisse assurer l’accompagnement de ce chantier, ainsi que l’état d’avancement de l’élaboration du Registre social unifié (RSU).
Le chef du gouvernement a rappelé, à cette occasion, les Hautes Orientations Royales relatives à la généralisation de la couverture médicale d’ici fin 2022, soulignant que la mise en œuvre de ce chantier royal de grande importance constitue l’un des fondements essentiels de l’édification de l’État social que le programme gouvernemental vise à consolider, selon la même source.
M. Akhannouch a ajouté que le parachèvement du chantier de la généralisation de la couverture médicale, dans cette conjoncture difficile et en respect des échéances prévues, est un pas essentiel pour la consolidation de la protection sociale des Marocains, notant, à cet égard, que le projet de loi de finances 2023 prévoit les financements nécessaires à la prise en charge des frais d’adhésion à l’assurance maladie obligatoire des personnes dans l’incapacité de s’en acquitter.
La rédaction /Le7tv