Avec ces absences redoutées par le régime algérien, mais très attendues par les experts, on est en déphasage totale avec l’ambition fanfaronnée par la junte militaire algérienne, de faire de ce sommet, « le sommet de la réconciliation ». Nous sommes loin de ce « vœux de façade » annoncé pompeusement, d’autant plus que les généraux voulaient à tous prix, que ce sommet corresponde au 1er novembre, date du déclenchement de la révolution algérienne en 1954 !…
Pour le Maroc, même si le Roi Mohammed VI est absent, le fait qu’il puisse participer à ce sommet malgré les réticences et les basses manœuvres algériennes et puisse imposer son point de vue, en terre hostile, c’est une victoire diplomatique incontestable reconnue par tous !…
Abderrazzak Boussaid/Le7tv