La FIFA a annoncé ce lundi, que le match Algérie-Cameroun, ne sera pas rejoué. En plus la FIFA inflige une amende de 3.000 francs suisses (2.929 euros) à la Fédération Algérienne après le barrage retour des qualifications de la zone Afrique pour la Coupe du Monde 2022, en raison de l’allumage de fumigènes et du jet d’objets dans le stade !…La Chaine de sport beIN Sport, l’a confirmé il y a quelques minutes !
Ainsi, le recours algérien demandant à la FIFA de faire rejouer le match à cause de « l’arbitrage scandaleux », selon la Fédération Algérienne, du Gambien Bakary Gassama a ete officiellement rejeté. Les Fennecs pensaient obtenir leur qualification dans cette prolongation avec un but à la 118e minute d’Ahmed Touba.
Rappelons que la semaine dernière de nouvelles révélations venant d’Algérie avaient accusé le comédien Djamel Debbouze d’être impliqué dans l’affaire de corruption. En effet, un journaliste algérien avait incriminé l’humoriste français d’origine marocaine d’être un intermédiaire auprès du Roi Mohammed VI, qui n’a pas digéré la défaite des Marocains en décembre dernier afin de faire perdre l’Algérie face au Cameroun. « Le gars côtoie le Roi, il côtoie Lekjaa, il vit à Paris » lance le journaliste sans vraiment prouver ses paroles. Selon lui le match aurait été « truqué » par le Maroc, en guise de vengeance !
Suite à ces propos, le Président de la Fédération Camerounaise, Samuel Eto’o, a pris la parole et a menacé le sélectionneur de poursuites. La Fédération Camerounaise de Football fait part de sa vive préoccupation à la suite des propos tenus le 24 avril 2022 par Monsieur Djamel Belmadi, l’entraîneur-sélectionneur des Fennecs d’Algérie : « Le Cameroun se réserve le droit de porter l’affaire, dans les prochains jours, devant la Commission d’éthique de la Fifa ».
La Fécafoot conteste ces allégations diffamatoires instillées de manière allusive et formulées de façon répétitive par les dirigeants algériens du football, a poursuivi l’instance présidée par Samuel Eto’o. Elle regrette que la persistance de cette polémique au long cours soit de nature à provoquer des incidents similaires à l’agression verbale subie par des responsables camerounais le 1er avril dernier à Doha en marge du tirage au sort de la Coupe du monde Qatar 2022. »
La rédaction /Le7tv