Le prix, décerné par le Centre européen, a été attribué au roi Mohammed VI «en reconnaissance de son rôle dans la diffusion des valeurs de paix à l’intérieur et à l’extérieur du Maroc».
Sur pas moins de 761 candidatures (populaires, individuelles, diplomatiques et officielles), le jury du Prix Jean Jaurès de la Paix, réuni ce mardi 21 septembre, a choisi le roi du Maroc pour le titre «d’Homme de Paix pour l’année 2021».
Le roi Mohammed VI a été choisi cette année «pour sa contribution à l’édification d’une société de justice et de paix entre les hommes et les nations, ses actions très louables en faveur de promotion du développement de l’Afrique à travers sa diplomatie économique, sécuritaire, humanitaire, culturelle et spirituelle», indique le communiqué du Centre européen.
«Le Maroc, sous les Hautes orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, œuvre inlassablement pour le renforcement des valeurs de paix, d’harmonie et de respect de la diversité culturelle et cultuelle, aux niveaux national, régional et international», poursuit le communiqué de l’organisation non gouvernementale européenne œuvrant dans le domaine de la paix et de la stabilité.
Par ailleurs, l’ONG souligne la «solidarité à toute épreuve du royaume envers les pays africains», notamment dans ce contexte de pandémie du Covid-19, lors duquel par l’initiative de Sa Majesté le Roi, des aides médicales ont été acheminées vers plusieurs États africains.
En effet, «le royaume, sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI, a toujours soutenu les pays africains frères et a un rôle central à jouer dans la reprise post-Covid dans le continent, eu égard à l’expérience accumulée par le Maroc dans différents domaines», poursuit la même source.
Le Centre européen revient également sur la normalisation des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël et estime dans ce sens que ce rapprochement «représente une très grande chance pour le Maghreb et le Moyen Orient pour retrouver la paix, la stabilité et la sécurité régionale qui fait défaut à cette partie du monde menacée par le séparatisme, l’extrémisme et cyberterrorisme».