Selon l’article 4 du Code de la famille marocain (CFM), le mariage est définit comme étant « un pacte fondé sur le consentement mutuel et une union légale et durable, entre un homme et une femme majeurs. En revanche, et malgré son « interdiction », le mariage des mineures, reste toujours d’actualité et plus particulièrement dans le milieu rural.
Le Maroc a adopté plusieurs conventions internationales relatives à la protection des droits des femmes notamment la convention sur l’élimination de toutes formes de discrimination à l’égard des femmes(CEDAW).
Certes, nous remarquons qu’il y ait encore des familles qui forcent leurs filles mineures de se marier à un jeune âge, à des hommes plus âgés qu’eux, soit à cause de la pauvreté, des anciennes traditions ou de l’analphabétisme, et ceci continue de poser problème.
Malgré les efforts déployés par les associations et leur sensibilisation ainsi l’existence des lois qui visent à protéger les filles mineures de ce phénomène, les mineures se marient encore et d’après l’UNICEF, cette pratique reste répandue et elle s’est aggravée durant cette période de l’épidémie pour des millions de filles à travers le monde.
C’est pour cela, qu’il est important de sensibiliser les familles sur l’importance de l’école, et mettre l’accent sur les droits fondamentaux et surtout ceux des femmes.
Rikka.S(js)/Le7tv