LA JUNTE MILITAIRE ALGÉRIENNE « SE CRAMPONNE » À SA HAINE !

Rien n’a changé en Algérie…Absolument rien n’a changé dans l’esprit malade de sa junte militaire…Rien ne peut changer tant que cette Mafia de vieux généraux ne disparaisse à jamais !…Toujours les mêmes désinformations, toujours les mêmes intox, toujours la même Haine du Maroc !…


Aujourd’hui, avec un Président plongé dans un état comateux à l’étranger, ceux qui tirent les ficelles s’obstinent toujours dans leur stratégie de complotisme contre leur voisin de l’Ouest. En manipulant les pauvres Sahraouis séquestrés à Tindouf à travers un Polisario créé de toutes pièces, ils ne font que confirmer cette Haine maladive d’un Maroc qui les a dépassé économiquement de très loin !…

Lors du 4ème mandat d’Abdelaziz Bouteflika, toute l’Algérie était paralysée, tout autant que son Président, maintenu artificiellement en vie pour paraître sur les images du journal télévisé. Tout le peuple algérien était suspendu aux évolutions de l’état de santé du Chef de l’Etat. Les réformes étaient gelées, les chantiers les plus stratégiques bâclés, les institutions névralgiques de l’État divisées par des luttes de clans autour de la succession d’un Président déjà donné pour « mort » ou pratiquement fini !…

Chaque composante du régime militaire tentait désespérément de placer son candidat-pion dans la course à la succession espérant remporter la mise et s’asseoir sur le “trône” vaquant !…

Aujourd’hui, avec un « Tebboune » déjà trop écartelé, déjà trop vieux, déjà trop handicapé, c’est exactement la même configuration qui est en train de se dessiner depuis l’hospitalisation du Président algérien en Allemagne le 28 Octobre dernier !…

Sauf que cette fois-ci, le contexte actuel que traverse l’Algérie est mille fois plus dangereux que les années du 4ème mandat de Bouteflika. Crise sanitaire inédite provoquée par la pire épidémie des temps modernes, risque imminent d’une faillite économique et financière, les années Tebboune seront incontestablement plus périlleuses que les années Bouteflika !…

L’absence aujourd’hui du Président algérien dans ce contexte explosif et menaçant pour l’avenir est une épreuve très délicate : La loi de finances n’a pas été discutée ni signée, aucun plan de sauvetage de l’économie nationale n’a été élaboré ou validé, aucun plan de relance n’a été dessiné ou proposé, une stratégie sanitaire inexistante et une exaspération populaire qui a atteint des seuils alarmants. Tous les ingrédients d’une future « implosion » du système sont réunis en Algérie !…

Un danger aggravé par cette crise inédite, ou plutôt déjà vue, de la “vacance du pouvoir”. C’est absolument la même crise qui avait conduit l’Algérie à l’époque de Bouteflika à un « sous-développement économique » sans précédent et une privatisation de l’État au profit de « forces occultes » qui avait mené le pays à l’impasse du 5ème mandat avec ses conséquences chaotiques !…

Mais si la crise de “vacance du pouvoir” de l’ère Bouteflika a abouti au Hirak du 22 février 2019, la crise de “vacance du pouvoir” de l’ère Tebboune risque d’aboutir à des bouleversements politiques encore plus dangereux pour l’Algérie mais aussi pour toute la région !…

Abderrazzak Boussaïd/Le7tv