Suite à une violations graves et systématiques des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf, le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a, dans son dernier rapport au Conseil de Sécurité sur le Sahara marocain, épinglé une nouvelle fois, les dirigeants du polisario.
En effet, le Secrétaire général a relevé 57 violations majeures de la part des séparatistes, ainsi que plus de 1000 violations individuelles. Des chiffres inédits dans les annales des Nations-Unies. Outre leur nombre, la gravité de ces violations est également sans précèdent.
Aussi, le Secrétaire général de l’ONU a énuméré les multiples incursions des séparatistes dans la zone tampon, les nombreuses restrictions imposées à la liberté de mouvement des observateurs militaires de la MINURSO pour leur interdire de constater et rapporter au Secrétaire général et au Conseil de Sécurité ses multiples violations dans la zone à l’Est du dispositif de défense ou encore la poursuite des constructions illégales de bâtiments militaires dans cette zone.
Les violations du « polisario » ont atteint une telle gravité que le rapport du Secrétaire général dénonce le mouvement séparatiste pour avoir interdit au Service de la lutte anti-mines de l’ONU de procéder aux activités de déminage à l’Est du dispositif de défense.
Cette attitude démontre clairement le désarroi des mercenaires du « polisario », repoussés dans leurs derniers retranchements, et ce notamment grâce à la crédibilité et à la conformité de la position marocaine avec la légalité internationale et le processus onusien.
Ibtihal Bassir/Le7tv.