Les violences faites aux enfants par les parents, frères, soeurs ou même de la famille laissent généralement des séquelles. À un bas âge subir des violences physiques, morales, attouchements sexuels ou parfois viols entraînerait l’enfant à souffrir le martyre toute sa vie !…
Au Maroc, pourquoi est-il nécessaire de combattre ce fléau? Tout simplement pour permettre à l’enfant de vivre sa vie pleinement, se sentir épanoui dans son milieu, à l’école, à la maison ou avec ses amis. On ne tape pas sur un enfant pour ses mauvaises notes par exemple, cela risquerait d’aggraver sa situation scolaire. Au contraire, il faut l’aimer, l’encourager et le choyer.
L’OMS distingue quatre grands types de maltraitance: la violence physique, psychique, sexuelle et la négligence. Bien évidemment aucune de ces maltraitances ne joue en faveur de l’enfant, ni pour son développement, ni pour son épanouissement, bien au contraire ces violences laisseraient des séquelles permanentes au niveau psychologique. Donner l’exemple de la petite Mina morte sous les coups de ses parents ou encore Sarah retrouvée violentée dans l’appartement d’un membre de sa famille, assoiffée et affamée, entre vie et mort.
Il existe des parents indignes qui n’accordent aucune liberté à leurs enfants, les privant de leurs droits en les rejettant dès la naissance ou en les maltraitant toute leur vie. Aujourd’hui au Maroc nous devons donner priorité en ce qui concerne les droits de l’enfant et travailler pour cela à travers la solidarité de tous.
Hind Wahbi (js)/Le7tv