Rêve réel pour un virus invisible.
Corona, lâche moi les baskets.
Par Regragui Nourreddine.
Des cafés fermées. Boutiques closed à 18 h. Super marchés envahis. Transports sur mesure et puis pour le tourisme,comme l’industrie, la finance, le sport et l’art. C la période la plus creuse de toute l’histoire de ces activités qui remplissent nos journées comme nos dimanches.
Hécatombe, sinstrose, holocauste » Du jamais vu. Le confinement, c’est terrible, fatigant et ennuyeux » Coup de gueule de plusieurs amis internautes.
L’Italie qui compte ses morts. La Chine soi disant berceau qui refait sa petite santé. Les USA touchés, les JO reportés, les avions collés, trains en mode goûte à goûte. Vie perturbée, chômage forcé et seul les toubibs ont vraiment du boulot.
Corona pandémie, Corona sur toutes les lèvres, corona qui nous apprend quelques régles de vies. On est tous concernés et les mots pour décrire cette situation fuient en ces moments de confinement. Finalement sur mon lit de travail… Je boucle ses lignes avant que mon Wifi ne soit épuisé » Virus, lâche moi les baskets ».